« Apprendre – Fabriquer – Partager » : c’est ainsi que Lucas Chambery résume son quotidien. Conseiller numérique depuis septembre 2024, il œuvre au sein d’Albilab, le fablab d’Albi, un lieu aussi foisonnant que créatif, où se croisent innovation, inclusion et transmission.
Issu du monde du commerce et de la communication, Lucas n’a jamais été bien loin du numérique. Entre conception 3D, dessin numérique ou photogrammétrie, il nourrissait déjà une vraie curiosité pour les outils numériques. C’est en quête d’un métier porteur de sens et tourné vers l’humain qu’il a rejoint Albilab, un fablab associatif dont il partage pleinement les valeurs : la transmission, l’entraide, la créativité collective.
Basé à Albi, Lucas intervient aussi bien au sein même d’Albilab que dans divers lieux partenaires : médiathèque, quartiers prioritaires, festivals, associations locales (UnisCité, Radio Albigès, Vélocratie…). Il organise régulièrement des ateliers dans les quartiers de Rayssac, Lapanouse et Cantepau, et participe activement à des événements comme la Nuit des chercheurs ou l’Albi Games Festival. Sa mission dépasse donc largement les murs du fablab.
Lucas accompagne un large éventail de publics : enfants, jeunes en service civique, retraités, demandeurs d’emploi, créateurs d’entreprise… Il adapte ses interventions en fonction des besoins, toujours dans un esprit d’inclusion et d’ouverture. L’approche pédagogique repose souvent sur des ateliers collaboratifs, mais aussi sur des outils très concrets : valises pédagogiques, réalité virtuelle, ressources en ligne, ou encore des formations pratiques autour de la fabrication numérique et des logiciels libres.
Au-delà des aspects techniques, ce qui compte pour Lucas, c’est ce qui se tisse entre les gens. Il se réjouit de ces « moments conviviaux après une session intense de travail », des « sourires d’enfants après un match de robots programmés par leurs soins », ou de « l’étonnement des demandeurs d’emploi découvrant un métier en VR ». Pour lui, un fablab est avant tout un espace où l’on casse les barrières entre générations, entre niveaux de maîtrise, entre idées et réalités.
Lors d’un atelier d’initiation à la robotique dans un quartier d’Albi, un jeune participant a créé un programme particulièrement complexe pour contrôler un robot avec une manette, en vue d’un tournoi. Non seulement le programme était ingénieux, mais l’enfant a ensuite pris le temps de l’expliquer à ses camarades. Un moment fort, révélateur du potentiel que recèlent ces ateliers quand on laisse place à la créativité et à l’autonomie.
S’il avait une baguette magique, Lucas aimerait que le dispositif des conseillers numériques soit pérennisé, afin de continuer à accompagner les évolutions technologiques avec plus de sérénité. Il rêve aussi de développer un atelier autour du jeu vidéo, convaincu de son potentiel éducatif, notamment à Albi, qui bénéficie d’un écosystème dynamique dans ce domaine.
Enfin, il conclut avec une conviction qui résume bien son engagement :
Le numérique peut être un vecteur de collectif, de lien social et d’intergénération. Les tiers-lieux comme Albilab jouent un rôle essentiel dans cette dynamique. Ils méritent d’être mieux connus et reconnus.
Ce texte a été rédigé par une IA sur base d'un canevas d'entretien transmis aux conseillers.ères numériques du Tarn et complété par leurs soins. Le contenu de ce texte a été relu et validé par les intéressés. Retrouvez le contenu complet du canevas complété par Lucas en suivant ce lien.
